Vous aussi, vous en avez marre de voir vos projets en échec, sans trop comprendre pourquoi ? Alors regardez attentivement ce cas d’entreprise. Car vous le savez très bien : ce n’est ni une question de méthode, ni une question d’outils. Mais de mindset et de culture. Alors, prêts pour le changement ?

Leurs projets étaient en échec, et Pourtant, c’était leur cœur de métier.
Cette entreprise d’ingénierie était jeune, dynamique, en croissance soutenue (+30 % par an). Des profils brillants, une expertise technique indéniable, et une volonté d’innover en continu. Bref, sur le papier, tout pour réussir. Et pourtant… un chiffre revenait, implacable : + de 20% de leurs projets finissaient dans le mur.
Et je ne parle même pas des 45% « plus ou moins réussis », ces projets qu’on termine sans vraiment les finir, qu’on livre sans trop savoir s’ils serviront vraiment. Dans cette boîte, seuls 35% des projets atteignaient leurs objectifs pleinement. Le reste ? Du bricolage plus ou moins assumé.
Quand on les interrogeait sur leur fonctionnement, la réponse était presque systématique : « On a des méthodes pourtant, on a des outils. » Oui. Trop d’outils. Trop complexes. Pas adaptés. Et des méthodes qui changent d’un chef de projet à l’autre.
Et surtout, aucune culture projet partagée.
Le plus grand secret de la réussite, c’est de se fixer un but et de ne le perdre jamais de vue.
Christine de Suède,
Pourquoi des projets en échec reflètent le niveau de culture projet
En creusant un peu, on a posé la vraie question : combien vous coûte ce désalignement ?
Réponse estimée à la louche au départ : 150 000 euros par an.
Mais soyons honnêtes, ce chiffre était largement sous-estimé. Quand on additionne les projets avortés, les redémarrages en urgence, les équipes démotivées, les erreurs non capitalisées et les clients refroidis, on parle facilement du double.
Et si on élargit la focale, ce n’est pas qu’une question d’argent.
C’est la crédibilité de l’entreprise, sa capacité à livrer, à innover, à engager ses talents qui en prend un coup.
Car quand les projets ratent, ce n’est pas juste le projet qui rate : c’est la confiance qui s’effrite, la dynamique qui casse, l’envie qui fond.
Et là, vous avez beau avoir les meilleurs experts, les meilleures idées ou les meilleures machines, si personne ne parle le même langage projet, vous avancez à tâtons. Et le problème, c’est que ça finit toujours par se voir — en interne comme en externe.
Voir aussi Pourquoi c’est URGENT de développer une véritable culture projet ?
La culture projet : ce n’est pas un luxe, c’est un socle
On a donc retroussé les manches. En trois mois, l’organisation a changé de posture. Pas de révolution. Pas de refonte totale des process. Pas de logiciel miracle. Mais un vrai travail de fond :
- Clarifier ce qu’est un projet dans leur contexte.
- Partager une méthode commune, lisible et souple.
- Créer un vocabulaire partagé entre les métiers.
- Définir et formaliser le processus pour qu’il soit compris de tous.
- Mettre en place un cadre simple, reproductible et fédérateur.
- Former les équipes.
Et surtout : impliquer tout le monde, pas seulement les chefs de projet ou les techs. Car une culture projet ne repose pas sur un outil ou une méthode. Elle repose sur un état d’esprit partagé, une capacité collective à se coordonner, à s’adapter, à tirer des enseignements.
Et les résultats ne se sont pas fait attendre : des équipes plus alignées, des réunions plus utiles, une prise de décision plus fluide, des projets qui avancent avec clarté…
Bref, des projets qui redeviennent des leviers, pas des boulets.
En 2025, on n’a plus le droit de piloter Ses projets à vue !
Ce que j’ai constaté dans cette entreprise, je le retrouve dans 8 entreprises sur 10 que j’accompagne.
Des outils, des méthodes, des gens compétents… mais pas de socle culturel commun.
Et souvent, personne ne le voit. Ou alors, on pense que « ça ira mieux au prochain projet. » (Spoiler : non.)
Alors j’ai pris le temps d’écrire un article pour poser tout ça à plat.
👉 Pourquoi la culture projet est devenue un levier stratégique pour toutes les entreprises.
👉 Ce qu’on perd quand on ne l’a pas.
👉 Et surtout, comment la développer concrètement, sans y passer des mois, ni tomber dans la lourdeur bureaucratique.
🧠 Parce que la culture projet, ce n’est pas une cerise sur le gâteau. C’est la farine sans laquelle aucun gateau ne peut être réussi ! Et c’est le liant qui garantie que l’ensemble sera digeste pour tous !
Une entreprise sans culture projet, c’est un peu comme un gâteau sans farine : ça s’effondre au premier choc.
Article Génération Z , comment les impliquer ?
Et vous, vous en êtes où ?
Votre entreprise parle-t-elle vraiment le langage projet ?
Ou êtes-vous encore dans le flou, à bricoler au cas par cas, en espérant que « ça passe » ? On peut en parler : contactez-moi !
Aller plus loin…
Au delà de cet aspect, on peut avoir besoin de comprendre comment certains profils appréhendent ces sujets… Et particulièrement dans les jeunes générations.
J’ai réalisé ces 2 dernières années 2 Etudes croisées :
👉 managers : leurs nouvelles exigences ! détail
👉 jeunes talents : leurs nouvelles valeurs ! détail
maintenant, c’est à vous de jouer !
Soit vous transformez l’énergie de vos équipes en levier de performance, soit vous continuez à freiner des quatre fers, génération contre génération. La clé ? Une vraie culture projet, sur-mesure pour votre réalité. Si ce n’est pas encore fait… il est temps d’agir. Contactez-nous
Sinon, vous pouvez toujours espérer que les choses changent… sans rien changer. C’est ce qu’Albert Einstein appelait … le début de la folie ! 😉
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